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POURQUOI VISITER LE PASSÉ ?
On nous dit de vivre au présent et je vous emmène au passé. Oui, car le passé nous agit constamment à cause des émotions et des croyances que nos vies précédentes n’ont pas pu purifier et libérer ou transmuter avant de mourir. Nous sommes la proie de ces mémoires toxiques et j’ai pu résoudre mes difficultés personnelles en m’occupant de libérer les personnes de mes vies antérieures Maintenant je peux vivre réellement le présent. Je suis devenue réellement Marie-Laure après avoir purifié et libéré les émotions et les croyances restrictives de Sarah, Henry, Condor, Yam et les autres…
QUE PUIS-JE POUR VOUS ?
Ensemble, grâce à la connaissance de vos émotions et à mes capacités de canalisation, nous pouvons retrouver les émotions et les croyances qui ont animé vos précédentes incarnations et je vous transmets une demande de purification et de libération que vous pouvez appliquer par vous-même en toutes circonstances et même sans avoir le détail de ces vies précédentes. Quelques séances et un peu de travail personnel vous libèrent assez facilement, y compris des maladies physiques en accompagnement de la médecine officielle que je respecte et que vous ne devez pas laisser de côté.
COMMENT AI-JE DECOUVERT CETTE THERAPIE ?
Dans «Chaman aujourd’hui », j’ai découvert ce que Serge Kahili King nomme le reformatage : «Si vous vous écrasez un orteil, la seule chose à faire est de recommencer plusieurs fois — sans toutefois l’écraser véritablement — et la douleur disparaît. En fait, quand vous répétez un modèle en en modifiant la fin, vous inscrivez dans votre ku (l’inconscient) une variante du souvenir de l’événement qui exige qu’il modifie l’état de votre corps conformément à la nouvelle version des faits. Plus vous le faites tôt après l’événement, plus le corps revient rapidement à l’harmonie.» Un quart d’heure après ma lecture, en utilisant ma débroussailleuse, j'ai reçu un débris de plante dans la lèvre qui s'est mise à gonfler. Excellente opportunité d’expérimenter le reformatage ! Comme je ne pouvais pas reproduire physiquement le trajet du projectile, j’ai utilisé mon index pour simuler sa projection, mais en le déviant de mon visage. Il a suffi d’une vingtaine de fois ce geste pour que ma lèvre reprenne son aspect normal… Je venais de faire la démonstration que l’inconscient ne distingue pas entre nos expériences physiques et celles que nous imaginons. Ensuite j’ai pensé que le reformatage pouvait agir sur les événements de nos vies antérieures. Et j’ai recréé des scènes imaginaires en leur attribuant une fin différente de celle qui s’était réellement passée. Aujourd’hui, je suis convaincue que chaque incarnation est une opportunité de reformater nos vies antérieures et de nous rétablir dans la voie du milieu dont ceux qui ont porté la même que nous se sont écartés. Il nous est donné de rejouer avec le même jeu de cartes que par le passé, mais grâce à la conscience qui a grandi, nous pouvons changer la fin de l’histoire et nous libérer de nos mémoires toxiques ! Un peu plus loin dans «Chaman aujourd’hui», j’ai lu : «Selon certaines traditions orientales, vos conditions de vie actuelles résultent de décisions et d’actions prises ou effectuées dans les vies antérieures. C’est ce qu’on appelle le karma. La tradition chamanique dit que le passé ne vous avait pas donné ce que vous avez aujourd’hui et n’a pas fait de vous ce que vous êtes maintenant. Ce sont vos croyances, vos décisions et vos actions sur vous-même et sur le monde autour de vous, qui vous donnent ce que vous avez aujourd’hui et font de vous ce que vous êtes. Le karma n’existe et n’opère que dans l’immédiat.» Cette dernière phrase a provoqué une révolution dans mon cerveau. Je venais de comprendre que la loi de cause à effet ne part pas des événements ou des faits objectifs passés. Elle agit à partir des croyances que ceux qui nous ont précédés ont bâti à propos de ces faits ou de ces événements. Nous continuons à véhiculer malgré nous un ramassis de croyances que nos précédentes incarnations ont imprimé à notre âme commune pour interpréter leurs expériences douloureuses, réparer leurs actes malheureux ou combler leur ignorance. Les croyances traversent non seulement les générations mais aussi les incarnations ! Et je réalise dans la foulée que les croyances prennent leur source dans l’ignorance. Le cerveau cherche à expliquer la souffrance par n’importe quel moyen parce qu’il lui manque une donnée. Le secret de famille par exemple entretient l’ignorance qui favorise la croyance qui engendre la souffrance. Ou bien nous payons un lourd tribut de trahison, d’abandon et de solitude parce que nous croyons, — peut-être à cause d’une religion, qu’il faut souffrir pour racheter nos fautes et subir ce que nous avons fait subir aux autres. Si on ne peut pas effacer les événements objectifs du passé, on peut, même par-delà la mort, modifier les émotions et les croyances nocives qu’ils ont engendrées. On doit remettre les compteurs à zéro. Désobéir à la croyance, ce n’est pas trahir notre famille, au contraire, c’est nous libérer et libérer toute la chaîne des ancêtres et des incarnations ! Voici la merveilleuse espérance de cette découverte. Mais peut-on vivre sans croyance ? Que mettre à la place des figures restrictives imposées jusque-là. À présent, j’ai la liberté de choisir mes croyances. Alors je préfère celles qui créent l’abondance, la paix, l’ouverture, la confiance, l’Unité, la Vie… J’ai simplement remplacé d’anciennes croyances par une nouvelle conscience, un supplément de foi.
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